lundi 20 août 2012

Concert de Ben Harper

Concert aux Nuits de Fourvière pour commencer mes vacances sous un ciel étoilé dans le bel amphithéâtre qui domine la ville aux lumières, Lyon !


C'est Ben Harper qui se produit ce soir du mardi 17 juillet 2012.

"Prince de la convivialité et de la profondeur spirituelle, Ben Harper sait dialoguer comme personne avec sa guitare et les variations de la musique noire américaine. Alors que les années 1990 crépitaient des rythmes du rap et des distorsions tourmentées du grunge, Ben Harper s’est révélé en misant sur son attachement aux racines folk-blues et la spiritualité du reggae et de la soul. Héritier des bluesmen du Delta du Mississipi, ce Californien d’origine amérindienne a façonné ses chansons en caressant sa guitare Weissenborn de glissandi émotionnels, sans se priver de flamboyance rock ni de groove funk. Il continue, mieux que jamais, à militer pour les valeurs d’authenticité, de générosité et la chaleur conviviale des sonorités acoustiques comme des distorsions. Une célébration présente dans son seizième album, Give Till It’s Gone, mais qui atteint toujours son apogée en concert.  "


Une belle météo nous fait honneur pour cette soirée en plein air dans un théâtre plein à ras bord ... Non non Mademoiselle nous ne pouvons nous rapprocher plus sinon on frôle l'indécence  !

Le monde arrive doucement nous sommes en avance Photo@Didi 2012
Depuis ma place Photo @Didi 2012

Les coussins de Lyon ne peuvent plus s'embrasser mais nous nous sommes prêts à nous embraser aux sons de ce chanteur musicien qu'est Ben Harper !


Place à l'artiste et quel artiste ! C'est avant tout un musicien excellent et il n'a pas peur de nous entrainer dans des chansons qui n'en finissent pas de nous faire vibrer. 

Ben Harper virevolte de guitare en guitare ( la personne qui s'occupe de remettre les instruments à Ben n'a pas chômé !) c'est un festival d'instruments de musique et il les aime Ben à les caresser ainsi ses guitares !  

Une sympathique "Set List" qui m'emballe, je ne suis pas grande connaisseuse de tous ses titres mais j'ai plaisir à en reconnaitre et en apprécier pas mal.

J'ai trois albums de lui dans ma CDthèque :





Voilà le programme du concert qui a duré un peu plus de deux heures avec pas moins de 18 titres que je vous laisse découvrir : ICI

   

    


Amen Omen

  • What started as a whisper,
    Ce qui a commencé par un murmure
    Slowly turned into a scream.
    S'est doucement transformé en un cri.
    Searching for an answer
    Cherchant une réponse
    Where the question is unseen.
    Dont la question est introuvable.
    I don't know where you came from
    Je ne sais pas d'où tu es venu
    And I dont know where you've gone.
    Et je ne sais pas où tu vas.
    Old friends become old strangers
    Les vieux amis deviennent de vieux étrangers
    Between darkness and the dawn.
    Entre l'obscurité et l'aube.

    Refrain
    Amen Omen, will I see your face again ?
    Amen Omen, reverrai-je ton visage ?
    Amen Omen, can I find a place within
    Amen Omen, puis-je trouver un endroit où
    To live my life without you ?
    Vivre ma vie sans toi ?
    I still hear you saying
    Je t'entends toujours dire
    All of life is chance,
    Toute la vie est une chance,
    And is sweetest, when at a glance
    Et elle est plus douce, quand on y jette un coup d'oeil.
    But I live,
    Mais je vis,
    I live a hundred lifetimes in a day.
    Je vis une centaine de vies par jour.
    But I die a little
    Mais je meurs un peu
    In every breath that I take.
    Dans chaque souffle que je prends.
    Refrain

    I listen to a whisper,
    J'ai écouté un murmure,
    Slowly drift away.
    Emporté doucement par le courant.
    Silence is the loudest
    Le silence est le plus retentissant
    Parting word you never say.
    Mot d'adieu que tu n'aies jamais dit.
    I put your world
    J'ai mis ton monde
    Into my veins.
    Dans mes veines.
    Now a voiceless sympathy
    Maintenant une compassion muette
    Is all that remains.
    Est tout ce qui me reste.

    Refrain
    Amen Omen, can i find the strength within
    Amen Omen, puis-je trouver la force où
    To live my life without you ?
    Vivre ma vie sans toi ?

    Merci Ben, pour cette belle soirée sous les étoiles,
    je lance mon coussin sur la scène 
    et applaudis à tout rompre !
    La nuit est belle en musique !

jeudi 16 août 2012

L'agenda des plaisirs d'Abha Dawesar

"Manhattan, une banque d'affaires. Jamais André Bernard, vingt-quatre ans, n'aurait pu imaginer céder, dès son premier jour au bureau, aux avances de son supérieur. Et encore moins que l'irrésistible épouse de ce dernier jetterait son dévolu sur lui. Combinaison périlleuse, mais tellement excitante : le jeune analyste financier n'a pas peur de jouer avec le feu et de s'embarquer dans une folle aventure sexuelle - qu'il ne pourrait maîtriser sans son précieux agenda. Délicieusement impertinent et terriblement libertin, L'Agenda des plaisirs ausculte les affres de l'amour et du désir en transgressant les conventions et les idées reçues."

Abha Dawesar

Née en 1974, diplômée de philosophie à Harvard, vit aujourd'hui entre Delhi, New York et Paris. Elle est l'auteur de Babyji, roman d'apprentissage aux accents érotiques, et de L'Inde en héritage, sélection des Médicis et Femina étrangers


Mon avis :

Livre prêté par mon amie Wal je l'ai enfin lu (pas loin d'un an que je l'ai ...) et je lui l'ai redonné mardi ! Merci à toi mon a-mie ! Voici son billet plus compatissant que moi !

Une lecture qui se veut coquine et qui pour cet été pourrait attirer le client de la blogosphère délaissée par l'attrait du soleil, des plages et autres découvertes de vacances.... 

Si je l'ai lu sans déplaisir ce livre m'a tout de suite moins emballé quand le Héros André s'enfonce, si je puis me permettre, dans la débauche totale. 

Ce n'est pas qu'un triangle amoureux, le compte s'élargit de façon exponentiel et André n'aura presque plus de  place dans son agenda ... Le pauvre garçon...

Mais là, je suis ironique, car ce jeune homme bien sous tout rapport (beau, intelligent, jeune et j'en passe....) à fini par m'exaspérer à ne plus savoir ou mettre sa q---- (je ne dois pas trop utiliser de terme hot ici  même si à regarder les statistiques c'est mon billet "Hard sun" qui m'a apporté le plus de lecteurs sur mon blog... je rappelle que je parlais alors, non pas de Hard, mais tout simplement de la magnifique chanson "Hard sun" du film Into the Wild que j'addooorrreee).

Et puis surtout, finalement, André n'a jamais vraiment opéré de choix, ni de vrai coming out, puisque au fond c'est la grande interrogation de cet homme durant tout le livre  : suis-je gay ou non ? Lui qui éprouve tant de plaisirs avec les femmes mais qui est si bien avec Nathan...Enfin peut-être à la toute fin c'est-il décidé ...

Je ne sais pas si je poursuivrais ma découverte de cette auteur, mais si je le fais ce sera avec ses premiers qui se passent en Inde. L'auteur va également sortir un nouveau livre fin août "Sensorium".

Chers lecteurs à vous de voir si votre agenda de lectures vous offre une petite plage pour cette lecture qui ne m'a pas trop emballée mais que j'ai menée à terme sans trop de déplaisir...

P.S : j'aurais bien aimé participé à : "Le premier mardi, c'est permis" de chez Stéphie mais j'ai loupé le dernier et je ne veux pas attendre le prochain ...En pleine rentrée scolaire :-S
Sinon je n'ai peut être pas compris le principe et ce rendez vous permet aussi sans doute de récapituler les lectures du mois passé... Si tel est le cas je veux bien y inscrire ce billet. Je vais mettre un commentaire sur le blog de Stéphie "Mille et un pages"




En tous cas j'aime bien l'esprit de ce rendez-vous et les billets croustillants et pleins d'humour que les blogueuses et blogueurs nous offrent ! Un régal dont on ne doit pas se priver !

mercredi 15 août 2012

Le chat de la mi-août, voici Féline

Je vous présente Féline la nouvelle minette de mes parents Photo @Didi 2012

"Il y a deux moyens d'oublier les tracas de la vie : 
la musique et les chats. "

Albert Schweitzer

jeudi 9 août 2012

Une soirée au Caire de Robert Solé

"Ce soir-là, au Caire, Dina reçoit. Une petite société cosmopolite se presse dans l'ancienne maison de son beau-père, Georges bey Batrakani, qui fut le roi du tarbouche. L'Egypte, en pleine effervescence sociale et religieuse, a beaucoup changé depuis les années 1960. La plupart des membres de la famille Batrakani, dispersés aux quatre coins du monde, n'y sont jamais revenus, préférant vivre avec leurs souvenirs. Ce n'est pas le cas de Charles, le narrateur, qui, après une longue période d'amnésie volontaire, séjourne régulièrement au Caire. " Notre monde a disparu, constate-t-il, et je continue pourtant à guetter les battements de son cœur et ses sourires." Mais pourquoi revient-il en Egypte une deuxième fois cette année, "avec un faux passeport"? Il est confronté à Dina, qui le subjuguait naguère; à Negm el-Wardani, le séducteur à la hussarde; à Josselin, l'égyptologue français en chasse de vestiges et de mécènes; à Yassa, le chauffeur copte, qui a toujours un mot pour adoucir les malheurs de l'existence... Au milieu de la soirée, apparaît une jeune femme, Amira, et un voile se déchire. Le présent aurait-il autant de force que le paradis perdu ?"

Mon avis : 

J'ai gagné ce livre chez Clara du blog "Moi, Clara et les mots"  en février dernier. 

Merci à toi pour ton blog toujours pleins d'idées de lecture et de billets agréables à lire.

Pour ce qui est de ma lecture et bien je n'ai pas adhéré ... Je suis restée comme étrangère à ce récit.

Je n'ai eu aucune affinité avec le narrateur qui d'ailleurs est bien trop effacé dans cette histoire. On ne sait pas vraiment qui il est, et l'histoire se déroule sans véritable but ...

Il manque des liens dans cette histoire qui auraient pu être davantage exploités ! Le narrateur se confondant avec l'auteur qui ne sait pas on à l'impression, s'il peut se permettre de rentrer totalement dans son histoire ???

Je l'ai lu donc sans réelle saveur, même pas celle des descriptions d'un pays que j'adorerais visiter, mais qui en ce moment de part la situation politique ne le permets pas vraiment....

Alors pour palier à ça j'ai comme vous le savez pris plaisir à me promener dans le temps non loin du Nil, au Musée du Louvre en avril dernier.

Le musée possède une pharaonique collection d'antiquités égyptiennes !  
A découvrir avant le voyage ! (Site Insecula )

Le Louvre photo @Didi 2012

Le Louvre Photo @Didi 2012
Le Louvre Photo @Didi 2012


Extraits du livre :
 "Pourquoi la pierre de Rosette se trouve-t-elle à Londres depuis deux cents ans ? Demande le violoniste de l'opéra du Caire. Pourquoi le musée de Berlin détient-il toujours un merveilleux buste de Néfertiti, sorti frauduleusement d’Égypte ?Et que font tous ces trésors pharaoniques au Louvre ? 
Cheminard exaspéré :
Vous voulez vraiment rapatrier toutes les pièces d’antiquité égyptiennes qui se trouvent dans les musées du monde ? 
La plupart des ces pièces ont été emportées sans autorisation.
Heureusement mon cher ! Heureusement ! Que seraient-elles devenues si des européens ne les avaient pas sauvées au XIX ème siècle ? Je vous rappelle qu'à l'époque, vos ancêtres démontaient des temples pour en utiliser les pierres.
Et l'obélisque de Louqsor ? Trouver vous normal qu'on lui ait fait traverser la mer pour le planter sur une place parisienne, au milieu des voitures ? "

"Essayons de voir le bon côté des choses : les musées égyptiens de paris, Londres, New York ou Berlin sont une merveilleuse vitrine pour l’Égypte. C'est la meilleure introduction à un voyage dans la vallée du Nil."


Je partage avec vous les deux poèmes de Théophile Gauthier évoqués dans ce livre concernant les deux obélisques séparés (source internet avec explications) :

L'obélisque de Paris

Sur cette place je m'ennuie,
Obélisque dépareillé ;
Neige, givre, bruine et pluie
Glacent mon flanc déjà rouillé ;

Et ma vieille aiguille, rougie
Aux fournaises d'un ciel de feu,
Prend des pâleurs de nostalgie
Dans cet air qui n'est jamais bleu.

Devant les colosses moroses
Et les pylônes de Luxor,
Près de mon frère aux teintes roses
Que ne suis-je debout encor,

Plongeant dans l'azur immuable
Mon pyramidion vermeil
Et de mon ombre, sur le sable,
Écrivant les pas du soleil !

Rhamsès, un jour mon bloc superbe,
Où l'éternité s'ébréchait,
Roula fauché comme un brin d'herbe,
Et Paris s'en fit un hochet.

La sentinelle granitique,
Gardienne des énormités,
Se dresse entre un faux temple antique
Et la chambre des députés.

Sur l'échafaud de Louis seize,
Monolithe au sens aboli,
On a mis mon secret, qui pèse
Le poids de cinq mille ans d'oubli.

Les moineaux francs souillent ma tête,
Où s'abattaient dans leur essor
L'ibis rose et le gypaëte
Au blanc plumage, aux serres d'or.

La Seine, noir égout des rues,
Fleuve immonde fait de ruisseaux,
Salit mon pied, que dans ses crues
Baisait le Nil, père des eaux,

Le Nil, géant à barbe blanche
Coiffé de lotus et de joncs,
Versant de son urne qui penche
Des crocodiles pour goujons !

Les chars d'or étoilés de nacre
Des grands pharaons d'autrefois
Rasaient mon bloc heurté du fiacre
Emportant le dernier des rois.

Jadis, devant ma pierre antique,
Le pschent au front, les prêtres saints
Promenaient la bari mystique
Aux emblèmes dorés et peints ;

Mais aujourd'hui, pilier profane
Entre deux fontaines campé,
Je vois passer la courtisane
Se renversant dans son coupé.

Je vois, de janvier à décembre,
La procession des bourgeois,
Les Solons qui vont à la chambre,
Et les Arthurs qui vont au bois.

Oh ! dans cent ans quels laids squelettes
Fera ce peuple impie et fou,
Qui se couche sans bandelettes
Dans des cercueils que ferme un clou,

Et n'a pas même d'hypogées
A l'abri des corruptions,
Dortoirs où, par siècles rangées,
Plongent les générations !

Sol sacré des hiéroglyphes
Et des secrets sacerdotaux,
Où les sphinx s'aiguisent les griffes
Sur les angles des piédestaux ;

Où sous le pied sonne la crypte,
Où l'épervier couve son nid,
Je te pleure, ô ma vieille Égypte,
Avec des larmes de granit !

Photo @Didi 2008 L'obélisque de Paris


L'Obélisque de Luxor

Je veille, unique sentinelle
De ce grand palais dévasté,
Dans la solitude éternelle,
En face de l'immensité.

A l'horizon que rien ne borne ,
Stérile, muet, infini,
Le désert sous le soleil morne,
Déroule son linceul jauni .

Au-dessus de la terre nue,
Le ciel, autre désert d'azur,
Où jamais ne flotte une nue,
S'étale implacablement pur.

Le Nil, dont l'eau morte s'étame
D'une pellicule de plomb,
Luit, ridé par l'hippopotame ,
Sous un jour mat tombant d'applomb ;

Et les crocodiles rapaces,
Sur le sable en feu des îlots,
Demi-cuits dans leurs carapaces,
Se pâment avec des sanglots.

Immobile sur son pied grêle,
L'ibis, le bec dans son jabot,
Déchiffre au bout de quelque stèle
Le cartouche sacré de Thot .

L'hyène rit, le chacal miaule,
Et, traçant des cercles dans l'air,
L'épervier affamé piaule,
Noire virgule du ciel clair.

Mais ces bruits de solitude
Sont couverts par le bâillement
Des sphinx , lassés de l'attitude
Qu'ils gardent immuablement.

Produit des blancs reflets du sable
Et du soleil toujours brillant,
Nul ennui ne t'est comparable,
Spleen lumineux de l'Orient !

C'est toi qui faisais crier : grâce !
A la satiété des rois
Tombant vaincus sur leur terrasse,
Et tu m'écrases de ton poids.

Ici jamais le vent n'essuie
Une larme à l’œil sec des cieux.
Et le temps fatigué s'appuie
Sur les palais silencieux.

Pas un accident ne dérange
La face de l'éternité ;
L’Égypte, en ce monde où tout change,
Trône sur l'immobilité.

Pour compagnons et pour amies,
Quand l'ennui me prend par accès,
J'ai les fellahs et les momies
Contemporaines de Rhamsès ;

Je regarde un pilier qui penche,
Un vieux colosse sans profil
Et les canges  à voile blanche
Montant ou descendant le Nil.

Que je voudrais comme mon frère,
Dans ce grand Paris transporté,
Auprès de lui, pour me distraire,
Sur une place être planté !

Là-bas, il voit à ses sculptures
S'arrêter un peuple vivant,
Hiératiques écritures,
Que l'idée épelle en rêvant.

Les fontaines juxtaposées
Sur la poudre de son granit
Jettent leurs brumes irisées ;
Il est vermeil, il rajeunit !

Des veines roses de Syène,
Comme moi cependant il sort,
Mais je reste à ma place ancienne :
Il est vivant et je suis mort !

 

 

mercredi 8 août 2012

Une carte postale

Hello les amis !

J'espère que vous allez tous bien et que vous profitez de cet été et/ou des vacances !

Je vous ai bien négligé, mais les vacances pour moi sont synonymes de déconnexion. 

Je tranche avec mes habitudes (bonnes ou mauvaises, je n'en sais rien) d'être rivée à mon écran d'ordinateur. Je reprends pieds dans le réel, dans la contemplation 
et la découverte in vivo ou in situ des choses et de la vie.
Cette année  j'ai eu la chance de partir pour 15 jours en Corse et ce fût 
comme chaque fois délices et enchantements. 

La mer et la montagne s'unissent pour nous offrir de multiples couleurs 
et des saveurs et des odeurs aussi !
Troisième séjour pour moi sur l’île de beauté (2002 - 2006 - 2012) 
sa langueur, sa beauté, son côté sauvage  me fascinent toujours autant, 
Corsica bellissima, tu m'as envoûtée.

En attendant et à mon rythme je redonnerais vie à mon blog chéri. 

Car lors de mes vacances il y a eu :

des découvertes de lieux, 
des lectures, 
du cinéma, des DVD,
 des tags, des jeux 
et de la musique ! 

Bisous et @ très vite 

Didi